mercredi 9 avril 2014

Le pouvoir du Silence


Donc, cette nuit-là, l’explosion était si forte qu’il y a eu cette pensée : « C’est la fin! Cette fois, c’est vraiment la fin… Je ne vais jamais revenir. » C’était si puissant, si incroyablement le feu, le chaos, le rien, qu’en moi ça disait « j’assiste à la fin du monde ». Impossible de croire que ça se vivait seulement à l’intérieur de moi : j’étais persuadée que cette amie près de moi, ma belle-fille dans la chambre à côté, tout le monde, autour, ne pouvait que vivre la même chose.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire